Vois-tu, du moins sur la Chrysler, j'avais décidé de faire une pause à la première station-service de l'A7 (à Lançon-de-Provence, soit 30 km ou 20 miles). Là, j'ai constaté que tout marchait (sauf les freins très difficiles à doser), pas de chauffe sur les pneumatiques, les tambours, enjoliveurs. Sous le capot, aucun durit qui fuit, rien. Je suis donc reparti, en me disant que je ferais un pause toutes les heures. L'heure arrive, et ça faisait 65 miles... Là, comme je ne constate rien d'anormal, je décide que je ferai une pause à 100 miles. La voiture roule bien, en conduisant je suis amené à faire un pic à 75 mph, tout se passe bien. J'arrive à Valence, passe le péage, la boîte marche nickel, je me dis que Grenoble c'est pas loin. Quitte à bien jauger sa voiture, s'il faut que quelque chose pète, autant additionner les kilomètres tant que je peux, continuer la route, au moins si tout se passe bien, j'aurais accumulé 300 km d'une traite. Et si ça pète, ben au moins ça aurait pété et j'aurais su à quoi m'en tenir.
Pour la Patrician, j'ai fait une pause à Lançon-de-Provence, une à Orange, puis j'ai pris la route nationale. Arrêt à St Marcellin (sur le même principe : rouler, pour faire éventuellement révéler les problèmes), soit ici 150 km. Puis je suis parti vers Grenoble, bouchon. Ne chauffant pas, je me suis que c'était l'occasion idéale de tester cet aspect là. Elle n'a pas bronché. Globalement, ça m'a permis d'entendre les claquements, ce long trajet a peut-être révélé un problème que je peux maintenant tenter de diagnostiquer et réparer.
Bref, en gros : pourquoi faire 30 km, puis une autre sortie de 60, puis 100... Autant n'avoir qu'une seule session de stress, et faire de suite 200 km ou 300 km.